Marcangella Brazi
//Information//
Groupes et Fonctions:
Situation Personnel: Celibataire, mais ce n'est pas ce qui l'interesse.
DEVISES OU VALEURS:
 |  Sujet: Marcangella Brazi  Dim 4 Sep - 16:28 | |
| _________.FICHE DE PRESENTATION._______
NOM : Brazi
PRENOM: Marcengalla, Santina,Victoria Merry-Jeanne
AGE: 20 ans
 GROUPE : Les Mafieux
MAFIEUX: La famille Pouchara
DESCRIPTIONS PHYSIQUE 4 ligne minimum:
Jeune Femme à la peau pale égale a de la porcelaine, par-moment diaphane, ce qui a la fâcheuse tendance de la rajeunir de plus de 2 ans et ce depuis sa plus tendre enfance, Possédant une taille grande pour une corpulence mince, en vue de sa taille élancé, de ses jambes fines ainsi que ses courbes saillantes, elle n’en reste point une ‘’poupée fragile’’ comme la décrite ses frères, étant une adepte de la course a pied, elle s’est forgé depuis ses 12 ans une carrure plus ou moins athlétique, n’atténuant guère a son physique féminin. Ayant garder le même visage depuis son plus jeune âge, un visage ovale sans être trop rond, des traits fins, un nez câlin, des lèvres dessinées pulpeuses d’un rose nacré naturel qu’elle colorie généralement d’un rouge carmin, des joues éternellement rondes légèrement roses, ou de petites fossettes apparaissent lorsqu’elle sourit, des oreilles moyennes dans les normes ou pendent généralement des boucles d’oreilles légèrement lourdes en or du style grec, rondes de laquelle pendent 3 petites chênettes qui soutiennent chacune une perle, et au milieu est enchâssée une émeraude.Des cheveux mi-longs d’un noir de jais, lisse et soyeux, légèrement ondulés, tombant ainsi en cascade sur ces épaules, et encadrant son visage, dont quelques mèches rebelles tombent négligeant sur son front quelques peu bombé.Deux iris d’un bleu-vert éblouissant, égal a deux fragments de méditerranée, en frome d’amande, aux cils délicatement enroulés.A présent penchons nous sur son style vestimentaire :Commençons tout d’abord par ses vêtements d’enfance, que je décris aussi fidèlement que possible, d’après une photographie que je me suis procurée.J’ai tout de suite remarqué, que Marcangella n’était autre que l’unique fille d’une famille de 3 garçons, d’où peut-être ses habits couteux et sa toilette tout simplement sublime ?Vêtue plus a l’anglaise qu’a l’italienne, dans sa robe en satin d’un bleu profond, lui arrivant au niveau des genoux, doublé de dentelle immaculé, allant a ravir avec son petit gilet en lin blanc, des ballerines sombres et des chaussettes de couleur neige.Ensuite, suite a plusieurs témoignage, j’ai appris qu’au coté de son père elle apprenait les ficelles du métier, lors des galas et autres réceptions.La majorité du temps, ces robes d’apparat était de couleur chatoyantes, je ne vous citerais qu’une seule qui a fait son effet sur plus d’un.Sa robe rouge écarlate, ample, sans être moulante, sertie de deux rubans qui se joignent au cou pour la soutenir, accessoirisait de gantes noirs, montant aux niveaux des coudes, de chaussures a petits talons, assorties, et bien-sur des bijoux…Comment dire…les bijoux sont pour Marcangella comme de l’eau ou de l’air pour chaque être vivant…et ils lui vont si bien.Un bracelet en argent sertie de rubis flamboyant comme des joyaux sorties des braises ardentes d’un feu de cheminée, un collier assortie et autres petits détails, tel que les broches et boucles d’oreilles.Sur-ce J’ai aussi en ma possession le rapport de la division criminel de la police de Chicago, Qui concerne notre fameuse Marcangella.Selon les sources, elle rendait visite a son troisième frère ainée, le plus jeune du trio, qui avait était mis en garde a vue le 12.décembre, pour trafique illicite d’alcool, au niveau de la frontière canadienne. Ayant toujours était une fine commerçante versé dans les accords et les offres d’affaires et de paix, sa sœur lui assurait qu’elle le sortirait d’ici le plus rapidement possible, enfin passons…Rapport de Police :Sous les directives de la brigade Féminine Mademoiselle Brazi, avait en ce jour, un manteau en fourrure blanche de la boutique Fey&Co, rechaussée d’un fond en velours, ou l’on pouvait ranger un quelconque objet, par-ailleurs nous ne virent aucune arme apparente, et ceux malgré les fouilles, selon nos supérieurs elle dut s’en débarrasser avant son entrée dans le poste de police.Un pull en laine d’une couleur tirant sur le noir, sertie de bretelles, ce qui accentua nos soupçons, au sujet de ses filatures dans le système tenue par ses frères.Un corset qui lui permettait d’arriver a un tour de taille de 57 centimètres, une robe qui était revêtue au dessus de ces vêtements, des bas sombres et des chaussures a talons.Sur-ce Quelques jours au paravent, un témoin, qui est employer en tant que maitre de table au Casino Havana, a fit la démarche d’une déposition dans laquelle il aurait vue Melle.Brazi, vêtue d’un costard féminin, d’un chapeau en feutre, entouré d’homme plus ou moins louches…traitant affaire dans le bureau de Santino.Brazi frère de cette dernière.Sur-ce, je ne m’étale guère plus sur ce sujet, m’étant plus ou moins attardait sur ce point.
DESCRIPTION MENTALE 4 ligne minimum:
Son mental.....très bonne question ! Enfaite nous pouvons supposer quelle est une sorte de rose, ces roses qui s'épanouissent sous un soleil estivale éternel presque irréel, et qui ne semble jamais se faner, or bien quelle soit une très belle fleur elle a bien trop d'épines quelle ne peut être touché.Jeune fille, versé dans l’art et la détermination, Elle a toujours fait preuve de sang froid et d’intelligence, et ceux dans n’importe quelle situation, ayant un don pour les affaires familiales et autres filatures notamment l’entente entre les familles et le respect de L’oméria, Sachant tirez les ficelles dans les milieux politiques et légaux, En plus de ceci sa capacité d’analyse l’aide souvent lors des débats, surtout après l’assassinat de son père, sa phrase favorite ? ‘’Ne pensez pas comme vous pensez, pensez comme les autres pensent !’’.Étant d’une grande bonté et douceur envers les membres de sa famille, sans pour autant être cruel et par-moment même effrayante envers les traitres et autres, pourtant elle s’est faire preuve d’allégeance et de justice, Comme une balance, pesant le pour et le contre.Ayant était victime de plusieurs scènes qu’un humain ne devrait voir, et subit des traitement qu’un humain ne devrait subir, elle reste malgré les apparences traumatisé et souffre d’une peur effroyable a la simple vue d’une neige tachée de sang, ce qui poussent a des crises plus ou moins effrayante, certaines marques d’une période de son passé, restent encore visible, au niveaux de son dos, certain pourront y lire des coups de fouet ou de fer chauffé a blanc…Mais aux yeux de Marcangella, cela reste la douleur qu’elle a dut connaitre prématurément…
Malgré que son père est voulue a tout prix l’éloigner des milieux noirs du commerce, ses trois frères aujourd’hui lui demandent encore des conseils, et ceux malgré les apparences, Elle aurait fait un excellent consiglière ou bras droit… Ils le répétaient souvent par-ailleurs ‘’Si seulement tu aurais pu naitre homme… Tu aurais était un nouveau César !’’ Et pourtant ils ne restent pas moins protecteur a son égard, cherchant toujours a savoir avec qui elle entretiens des relations commerciales, ce qui la met hors d’elle. Lorsqu’elle a voulue monter sa propre affaire. Contrairement a plusieurs femmes, elle est indépendante et avide de liberté, respectueuse des règles, n’ayant aucun ennuie avec les forces de l’ordre contrairement a ses frères, grâce au bon maniement de ses opérations mais aussi a ses amis politiques, qu’elle trimbale dans a poche comme des la petite monnaie. Marcangella est ce qu’on appelle une femme qui sache gouverner, digne de Cléopâtre ou de Victoria de Hanovre.
Sachez que jamais elle ne sera un pantin dansant au bout d’un fil mais celui qui le contrôle….
HISTOIRE 15 lignes minimum:
Le Crime est une question de Criminels, le crime n’est pas une question de race, de couleur, ou de religion.- Robert Kennedy.« Au tant que je me souvienne, j’ai toujours rêvé d’être Gangster ! »
Marcangella, Santina, Victoria, Merry-Jeanne Brazi. Fille d’Antonio Brazi hommes d’affaires agissant pour son compte, aidant son meilleur ami Don.Provenzano et de Merry Mc.Lwean, Cadette d’une famille de trois garçons, qui ne sont autres que : Santino l’ainé, Frédérico le benjamin, et Michael le dernier des trois. Filleule de Don. Stéphano Provenzano. Un des parrains de la pègre italienne en Amérique. Né à New-York, dans le domaine de sa famille, le 10 Octobre 1925. 2levé les trois premières années de sa vie par sa mère qui était d’une santé fragile, chouchoutait par tout les membres de sa familles, même les hommes de mains de son parrain avait la tendance de jouer avec elle, ne pouvant résister a ses grands yeux pétillant de curiosité et de joie de vivre et ce du haut de ses 3 années.Hélas, sa tendre ‘’Mama’’ Comme l’appelait ses frères et elle-même mourût Quelques mois avant le quatrième anniversaire de son enfant ‘’favorite’’, On dit encore aujourd’hui que celle qui a le plus pleurer est bien la jeune Maracangella, qui comprit aussitôt lorsqu’elle découvrit s amère gisante au milieu du champ de jacinthe du jardin Est, que la jeune femme au visage si similaire au sien , ne ré-ouvrira jamais ses beaux yeux d’un rare violet, égal a les bas nuages des hivers humides d’Ostia…le port marin de Rome…Son père ne fût pas insensible a cette perte, et en était si troublé et touché, qu’il décida d’aller s’installer à Chicago, s’impliquant dans les affaires avec Don. Provenzano, construisant sa propre famille… Étrange comme un simple incident peut changer une personne ? La poupée de porcelaine, fût aussitôt écarter de tout contact avec les milieux noirs, ayant reçue une éducation digne d’une jeune fille de bonne famille, elle maitrisait le dessin et la mandoline à l’âge de 7 ans, aux yeux fatigués d’un combat sans fin de son père, elle restait la fierté de la famille. Apprenant l’italien, l’anglais, le français, le Check ainsi que le latin, par des professeurs personnels, elle s’épanouissait tel un rose sous un soleil estival éternel, chouchoutait par ses frères qui la comblait d’attention et par son Parrain, qui ne cessait de lui offrir maintes missives et autres cadeaux. Mais Comme chaque bonne chose a une fin…Son Père décéda a son tour rejoignant son épouse, dans l’au de-là alors que la petite Marcangella n’était qu’âgée de 12 ans…Et croyez-moi…Ce fût l’incident qui bascula tout dans sa vie qui jusqu'à aujourd’hui était la plus enviée de toute…18 Janvier, 1937, Chicago État l'Illinois. La fillette, avait exaspéré son père, nuit et jour, heures de travaille ou bien repos, pour qu’il l’emmène se balader en ville, dont actuellement elle n’en connait que de bribes, étant donné le fait qu’elle reste dans le domaine de peur de se faire avoir apr une famille rivale, et ainsi susciter l’inquiétude et les risque au sein de la sienne.Acceptant, Au bout deux trois jours de purs plaintes et protestation la poupée de porcelaine, obtint ce qu’elle désirait, une journée avec son père, dans les rues de Chicago.Ayant fait plus d’un magasin, les bras chargés d’emplettes et paquets, qu’ils entreposèrent dans la voiture (Une Mercedes Benz, couleur noir). Avant de se diriger vers le Hyde Park, Antonio, ne voulut pas d’escorte…est-ce ce qui est provoquer sa mort ?Arriver en le lieu, choisit depuis le début de la journée, et tant attendue par la jeune fille, père et fille s’amusaient, surement essayaient-ils de compenser des années de simples ‘’Bonjour, Bonsoir’’ ? Du moins….Il n’en fût pas aussi joyeux pour le reste de la journée…En effet, vers 17 heure, les coups de feus retentirent, faisant fuir tout les passants, prit dans la marrée humaine, la fillette se retrouva cotre son gré au milieu de l’affrontement d’une nouvelle famille, celle des Placido (pronostication : Plachido) et le gang des Bloodies, surement une affaire d’alcool, car même si la prohibition a vécue son temps, il n’en reste pas moins que certains continuent ce business.Une balle perdue qui manqua de toucher la poupée de porcelaine, si son père ne s’était pas entreposer. Étouffant un cri aigue en voyant son père gisant a terre au milieu d’une flaque de sang, sur un lit de neige désormais souillé, les yeux larmoyants, a genoux devant le corps de son géniteur, ne faisant plus attention aux cadavres et sifflements de balles, Pour elle, tout s’écroulait…Sentant le bruit de pas derrière elle. Elle réagit a l’instinct en voyant une revolver près d’un soldat mort. Le prit furtivement, avant de le pointer sur celui qui voulait sa mort…Simple et rapide, une balle dans l’abdomen…Son premier crime…Son premier tir…Et ne le rata pas…Se levant d’un bond, elle courut vers le foret qui donnait sur un lac plus ou moins désert a une vingtaine de kilomètres. Sachant que là-bas elle pourrait se cacher. Mais elle n’était pas rapide a l’époque et fut rattraper par une escouade qui au lieu de la tuer, la jetèrent dans le premier bateau en direction de la Sicile c’est la que l’enfer commença…Sicile, Village de Catania, 1 mois après l’incident :
Marcangella, fût jeter a nouveau, dans ce qu’on peut appeler un village mort…enfin une sorte de mines faites par des enfants ; qui chacun a était comme elle, témoin d’un règlement de compte ou d’un chargement de marchandise, depuis petits et grands maudissaient leurs yeux…Chose qu’elle ignorait…ici règne la loi de la jungle…Les faibles ne vivent pas plus de 2 jours, affamés, ils battent, volent, et tuent si cela est nécessaire…3 jours après son arriver, un certain Billie Pathengoli, fils d’un gérant de casino dans les quartiers noirs de Palerme s’est éprise d’amitié pour elle, et a deux ils gérèrent une sorte de regroupement, dont ils étaient les leaders, les exécuteurs volaient de l’argent qui se dépensera en nourriture et vêtements.Enfin…Ce fût de courte durée, mais assez fatiguant pour cette jeune fille, qui décida accompagner de son fidèle ami, de prendre la route en direction de Palerme…C’est la que son frère Michael (le plus jeune) La retrouva avant de la rapatrier a New-York ou désormais Santino gérait les affaires assez bien, aux côtés de Frédérico. Ayant fait une ‘’Vendetta’’ vengeant ainsi leurs père et leurs sœur exilée.Les 4 premières semaines, elle restait muette et ne mangeait rien, sentant ses anciens démons la tenaillaient comme un feu qui vous ronge de l’intérieur, Se décidant enfin a aller rendre visite a la tombe de son père, elle reprit des lors une assurance et une détermination qui surprirent ses frères, étudiant l’art de la politique et du droit, elle insistait pour représenter ses frères a divers galas et réception, Lui donnant cette liberté, étant donner son talant innée pour les affaires et relations. Sa grande patience et sa culture général, lui attira bien des amis et des faveurs et ceux malgré ses 14-15 ans…Voulant ensuite, s’attaquer aux affaires de la famille, un Non irréversible venant du chef mais aussi de son ainé, la fit arrêter dans ses projets…C’est la qu’elle décida de prendre un pseudonyme ‘’Angelo’’ agissant ainsi en tant qu’homme exécutant contrats, gagnant quelques business pour le compte du Trio que formait ses frères, (Leurs commerces n’est autre que : Maison de Jeux, garages clandestin, trafique d’armes, bijoux, la drogue et autres furent tout de suite repousser pour le mauvais regard que portent leurs amis politique là-dessus)Mais bon, Marcangella dut se résigner à perdre cette deuxième identité, encombrante, pour prendre le bateau vers L’Italie…Abandonnant tout désir, d’aider ses frères ou de construire sa propre famille (étant donné son statut de femme) Elle séjourna quelque tant a Rome, Florence, Ostia, Et pour finir Naple.Elle s’installa donc dans cette ville, ou deux familles s’affrontent, intéressant non ? Et de plus ceci, ‘l’occupera et ainsi forgera sa réputation trop mis dans les versets politiques…Voila quelque chose qui risque d’être fort plaisant et divertissant. Agissant au compte de Don.Pouchara. Et elle y restera fidèle, adepte de L’oméria, Elle ne trahira jamais sa famille et ne prendra jamais partie contre elle. Étrange non ? Une femme mafieuse ? Vous ne trouvez pas….Mais ne vous fiez pas aux apparences…Elle risque de vous surprendre..je le répète encore…Jamais je ne serais le pantin dansant au bout du fil mais celui qui le contrôle…’’-Le Crime est une question de Criminels, le crime n’est pas une question de race, de couleur, ou de religion.- Robert Kennedy.
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Dernière édition par Marcangella Brazi le Lun 5 Sep - 11:25, édité 7 fois | |
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